Être exposé à la pollution atmosphérique augmenterait le risque d’avoir de moins bonnes performances cognitives
« Les analyses et propos présentés dans cet articles n’engagent que son auteur. »
VEILLE : SANTÉ – BIEN-ÊTRE – QUALITÉ DE VIE – ENVIRONNEMENT
DOMAINE : HUMAIN – MANAGEMENT – SOCIÉTÉ
MOTS CLÉS : POLLUTION – PERFORMANCE – COGNITIVE
RÉSUMÉ OU EXTRAIT DE L’ARTICLE :
40 % des cas de démences pourraient être évités ou retardés en agissant sur des facteurs modifiables, facteurs au sein desquels figure la pollution de l’air.
Pour les participants les plus exposés, les chercheurs ont constaté une différence allant de 1 à près de 5 % du score des performances cognitives par rapport aux participants moins exposés.
Pollution atmosphérique : évaluations quantitatives d’impact sur la santé – EQIS
AUTEUR(S) : SANTÉ PUBLIQUE FRANCE
LIEN : SANTÉ PUBLIQUE FRANCE
RÉSUMÉ OU EXTRAIT DE L’ARTICLE :
40 000 décès par an et près de 8 mois d’espérance de vie perdus en lien avec l’exposition aux particules fines
… Afin d’actualiser les estimations publiées en 2016 qui portaient sur la période 2007-2008, Santé publique France a réévalué le fardeau que représente la pollution atmosphérique sur la mortalité annuelle en France métropolitaine pour la période 2016-2019. Il ressort de cette réévaluation que chaque année près de 40 000 décès seraient attribuables à une exposition des personnes âgées de 30 ans et plus aux particules fines (PM2,5). Ainsi l’exposition à la pollution de l’air ambiant représente en moyenne pour les personnes âgées de 30 ans et plus une perte d’espérance de vie de près de 8 mois pour les PM2,5.
La pollution de l’air ambiant demeure ainsi un facteur de risque pour la santé en France bien que l’EQIS 2016-2019 suggère une tendance à la baisse de la mortalité en lien avec la pollution de l’air ambiant (7% de la mortalité totale de la population française attribuable à une exposition aux PM2,5 versus 9 % sur la période 2007-2008)…
Suivez-nous
Article récent
0 commentaires