La période de pandémie du COVID19 a changé les habitudes pour des dizaines de millions de travailleurs à travers le monde, contraints alors soudainement de travailler à domicile.
Les modèles hybrides s’étants largement imposés, les premiers bilans révèlent que plus de 20 % de la population active qualifiée, notamment dans les pays riches, travaille à distance entre 3 et 5 jours par semaine aussi efficacement que sur site.
Évaluer le rapport bénéfice-risque de cette révolution à la fois économique et sociale devient important.
Si les avantages semblent l’emporter, que ce soit pour les salariés ou l’entreprise, notamment en matière de santé, il est intéressant d’identifier le modèle optimal.
Même si les écrans permettent de garder le lien à travers le monde via notamment l’emploie des réseaux sociaux, l’utilisation en excès peut générer un éloignement physique : les personnes hyperconnectés ont tendance à se replier sur eux-mêmes, à ne plus entretenir de relations avec leurs proches et ainsi se couper du réel pour se réfugier dans le monde virtuel.
Les écrans deviennent fondamentaux dans leur vie au détriment de tout le reste.
La désocialisation devient le premier risque lié à un usage excessif des écrans contribuant à augmenter les risques dépressifs et compromettant à tout épanouissement social, scolaire ou professionnel.
L’effet Flynn correspond à l’augmentation des scores aux tests de QI (Quotient Intellectuel). Cet effet a été observée par l’observation et la comparaison de populations, sur plusieurs générations, de 1952 jusqu’au début des années 1990. Cependant, on...
Cette cohorte réalisée par une équipe de chercheur de la Harvard T.H School of Public Health a pour but de montrer la relation entre l’adoption d’un régime alimentaire végétarien et la baisse de risques de complications et de décès chez des patients atteints de...
Dans cette étude, 61 organisations et entreprises ont réduit pendant une période de 6 mois, 20% de nombre d’heures de travail sans pour autant diminuer le salaire sur l’ensemble de 2900 salariés.
Tous les secteurs d’activités sont représentés dans cette étude.
Pour mesurer les effets sur les individus, les chercheurs ont interrogé l’ensemble des employés tout au long de l’étude sur les effets d’une journée de temps libre supplémentaire par semaine.
Par auto-évaluation, la santé mentale et physique s’est améliorée en parallèle de la baisse significative des taux de stress et de fatigue.
Selon l’OMS (Organisme Mondial de la Santé) : « Les troubles mentaux sont moins souvent diagnostiqués et moins largement traités que les maladies physiques, chroniques ou infectieuses, pourtant ils concernent 1 personne sur 8 dans le monde (…) Les problèmes de santé mentale entraînent également environ 2.500 milliards d’euros de dépenses mondiales de santé et ces coûts sont en augmentation constante.»