Etienne VARLAN 

Docteur en Médecine.

Recherche et essais cliniques sur la mise au point d’algorithme pour des systèmes d’aide à la décision en stratégie de santé en coopération avec des équipes multidisciplinaires.

Responsable du Comité scientifique et d’ éthique.

RAICE

Le bilan bien-être et performance de l’entreprise.

Make the company a place of health education.

Descriptif

RAICE un outil d’aide à la décision en stratégie de santé à visée individuelle, sociale, organisationnelle. 

Nacéol a construit une estimation dynamique & prédictive du Bien-Être à visée préventive grâce à une animation pédagogique associée à un questionnaire. Elle est construite sur des recommandations provenant de sociétés savantes, de comités d’experts et d’autorités de santé. Elle a une approche pluridisciplinaire, multidimensionnelle, multifactorielle. C’est en quoi le bilan santé RAICE correspond à un indicateur de la Qualité de Vie et Conditions de Travail.

Le bilan santé RAICE a une fonction bénéfique, préventive voire thérapeutique sur les sujets volontaires. Il permet de réduire les biais cognitifs par la mise en mouvement du sujet lors d’ateliers interactifs. Il améliore l’état de présence et de conscience par le développement de l’attention à soi, aux Autres et au Monde. Il permet de présenter, à une organisation, un état présent « le bien-vivre » et un état prédictif « le bien-vieillir ».

RAICE : 5 dimensions humaines

Elles ont pour objet de diagnostiquer l’impact de la santé sur le bien-être et la sécurité des individus, la performance et la sûreté de l’organisation. Elles analysent pour un collectif donné, les composantes principales de ce qui ferait sa Santé, son Bien-Être, sa Qualité de Vie.

Lien entre santé et responsabilité :

La santé, le bien-être et la qualité de vie jouent un rôle essentiel dans la notion de responsabilité de plusieurs manières :

Responsabilité envers soi-même : Avoir une bonne santé, prendre soin de son bien-être et rechercher une haute qualité de vie sont des signes de responsabilité envers soi-même. Cela signifie prendre des décisions conscientes pour maintenir sa santé physique et mentale, ce qui implique de manger sainement, de faire de l’exercice régulièrement et de gérer le stress. La recherche du bien-être et de la qualité de vie peut également inclure des choix tels que l’éducation continue et le développement personnel.

Responsabilité envers les autres : La santé et le bien-être individuels ont un impact sur la capacité à contribuer à la société. Une personne en bonne santé est plus susceptible d’être productive au travail, de participer activement à la vie de sa communauté et de soutenir sa famille. Ainsi, favoriser sa propre santé et son bien-être peut être perçu comme une responsabilité envers les autres, car cela contribue à la stabilité et au bien-être de la société dans son ensemble.

Responsabilité envers l’environnement : La qualité de vie est souvent liée à la qualité de l’environnement. Prendre soin de son environnement est un aspect essentiel de la responsabilité envers les générations futures. En prenant des mesures pour réduire son empreinte écologique, on démontre sa responsabilité envers la préservation de la planète pour les générations futures.

Responsabilité financière : Une bonne qualité de vie nécessite souvent une planification financière responsable.

Cela signifie gérer ses finances personnelles de manière à pouvoir subvenir à ses besoins et à ceux de sa famille.

En somme, la santé, le bien-être et la qualité de vie sont étroitement liés à la notion de responsabilité envers soi-même, envers les autres, envers l’environnement et envers la société dans son ensemble. Prendre des décisions éclairées pour préserver et améliorer ces aspects de sa vie est un signe de responsabilité individuelle et collective.

Lien entre santé et autonomie :

La santé, le bien-être et la qualité de vie sont des éléments essentiels qui favorisent la notion d’autonomie de plusieurs manières :

Santé physique : Une bonne santé physique permet à une personne d’accomplir ses activités quotidiennes de manière indépendante. L’absence de maladies graves, de douleurs chroniques ou de handicaps physiques favorise l’autonomie en permettant à une personne de se déplacer, de s’occuper d’elle-même et de participer activement à la société.

Santé mentale : La santé mentale joue un rôle crucial dans l’autonomie. Une bonne santé mentale permet de prendre des décisions éclairées, de gérer le stress, de résoudre des problèmes et de maintenir des relations sociales positives, ce qui favorise l’autonomie.

Bien-être émotionnel : Le bien-être émotionnel englobe la capacité à gérer ses émotions de manière saine. Une personne émotionnellement équilibrée est plus apte à prendre des décisions autonomes et à maintenir des relations interpersonnelles positives.

Qualité de vie : Une qualité de vie élevée offre un environnement propice à l’autonomie. Cela inclut des conditions de vie adéquates, l’accès à l’éducation, à l’emploi, à la culture, ainsi que des loisirs et des activités sociales qui permettent à une personne de s’épanouir de manière autonome.

Accès aux soins de santé : L’accès à des soins de santé de qualité est essentiel pour maintenir la santé physique et mentale, ce qui à son tour soutient l’autonomie en permettant à une personne de rester en forme et en bonne santé.

Prévention des maladies : Des comportements préventifs tels que l’exercice régulier, une alimentation équilibrée et la gestion du stress contribuent à maintenir une bonne santé et à réduire le risque de maladies, renforçant ainsi la capacité d’une personne à être autonome.

Autosoins : Le bien-être englobe la capacité à prendre soin de soi-même (CARE). Les compétences en matière d’autosoins, telles que la gestion de la médication, la gestion du stress et la gestion du temps, sont des éléments clés de l’autonomie.

Soutien social : Le bien-être et la qualité de vie sont souvent renforcés par un réseau de soutien social, que ce soient des amis, de la famille ou des groupes communautaires. Ce soutien peut être essentiel pour aider une personne à maintenir son autonomie, en particulier en cas de besoins spécifiques.

En résumé, la santé, le bien-être et la qualité de vie sont des piliers qui soutiennent la notion d’autonomie en permettant à une personne de fonctionner de manière indépendante, de prendre des décisions éclairées et de vivre une vie satisfaisante. Ils sont interdépendants et se renforcent mutuellement pour favoriser une vie autonome et épanouissante.

Lien entre santé et initiative :

La santé, le bien-être et la qualité de vie jouent un rôle essentiel dans la promotion de la notion d’initiative. Voici comment ces éléments sont liés :

Énergie et vitalité : Lorsque vous êtes en bonne santé et que vous vous sentez bien dans votre corps, vous avez plus d’énergie et de vitalité pour entreprendre des actions et des projets. Une bonne santé physique favorise l’initiative, car vous vous sentez capable de relever des défis.

Santé mentale : Une santé mentale stable et équilibrée est cruciale pour prendre des initiatives. Lorsque vous êtes mentalement bien, vous êtes plus en mesure de prendre des décisions, de résoudre des problèmes et de gérer le stress, ce qui facilite la mise en œuvre de nouvelles idées et projets.

Confiance en soi : Le bien-être et la qualité de vie contribuent à renforcer la confiance en soi. Une personne en bonne santé et épanouie a tendance à croire en ses capacités et à oser prendre des initiatives.

Créativité : La santé mentale et le bien-être physique peuvent stimuler la créativité. Lorsque vous vous sentez bien, votre esprit est plus ouvert à de nouvelles idées, ce qui favorise l’initiative et l’innovation.

Productivité : Être en bonne santé permet d’être plus productif, ce qui facilite la réalisation de projets personnels ou professionnels. Une personne en bonne santé est en mesure de maintenir une plus grande constance et de donner le meilleur d’elle-même.

Relations sociales : La qualité de vie englobe également les relations sociales. Des relations positives avec d’autres personnes peuvent encourager la collaboration, l’apprentissage et l’inspiration, favorisant ainsi la prise d’initiative.

Gestion du temps : Une bonne gestion de la santé et du bien-être peut vous aider à optimiser votre temps. Vous pouvez ainsi consacrer davantage d’énergie à des projets qui vous tiennent à cœur, ce qui facilite la réalisation de ces initiatives.

En résumé, la santé, le bien-être et la qualité de vie fournissent les bases nécessaires pour prendre des initiatives, car ils renforcent votre confiance en vous, stimulent votre créativité, améliorent votre productivité et vous permettent de gérer plus efficacement votre temps. Tous ces éléments contribuent à votre capacité à entreprendre de nouvelles actions et à poursuivre des objectifs personnels et professionnels avec succès.

Lien entre santé et coopération :

La santé, le bien-être et la qualité de vie jouent un rôle essentiel dans la promotion de la coopération au sein d’une société ou d’une communauté. Voici quelques façons dont ils favorisent cette notion :

Amélioration des relations interpersonnelles : Lorsque les individus se sentent en bonne santé et épanouis, ils sont plus enclins à être sociables, à interagir positivement avec les autres et à établir des relations solides. Une bonne santé mentale et physique peut renforcer la capacité à comprendre les besoins et les perspectives des autres, favorisant ainsi la coopération.

Réduction des conflits : Une bonne santé mentale et émotionnelle contribue à la gestion des émotions et à la résolution pacifique des conflits. Les personnes en bonne santé sont souvent mieux équipées pour gérer les désaccords de manière constructive, ce qui favorise la coopération au lieu de la confrontation.

Productivité accrue : Lorsque les individus sont en bonne santé et se sentent bien, ils sont plus productifs, ce qui peut renforcer la coopération au sein d’une équipe de travail ou d’une communauté. La coopération est souvent nécessaire pour atteindre des objectifs communs, et une équipe en bonne santé est plus susceptible de collaborer de manière efficace.

Engagement social : Les personnes en bonne santé ont tendance à être plus engagées dans leur communauté et à participer à des activités sociales et bénévoles. Cette participation sociale favorise la coopération en renforçant les liens entre les individus et en encourageant la solidarité.

Partage des ressources : Une société qui accorde de l’importance à la santé et au bien-être est plus susceptible de mettre en place des mécanismes de partage équitable des ressources, ce qui favorise la coopération en assurant que les besoins de tous sont satisfaits.

Confiance mutuelle : La santé, le bien-être et la qualité de vie contribuent à établir un climat de confiance au sein d’une société. Lorsque les individus ont confiance en leur gouvernement, en leurs institutions et en leurs concitoyens, ils sont plus enclins à coopérer pour atteindre des objectifs communs.

En résumé, la santé, le bien-être et la qualité de vie sont des facteurs clés pour favoriser la coopération au sein d’une société. Ils renforcent les relations interpersonnelles, réduisent les conflits, encouragent la participation sociale et facilitent le partage des ressources, contribuant ainsi à créer des communautés plus harmonieuses et coopératives.

Lien entre santé et engagement :

La santé, le bien-être et la qualité de vie sont des facteurs essentiels qui favorisent la notion d’engagement de plusieurs manières. Voici comment ils interagissent pour promouvoir l’engagement :

Énergie et vitalité : Lorsque vous êtes en bonne santé et que vous vous sentez bien, vous avez plus d’énergie et de vitalité pour vous engager dans des activités, des projets et des relations. Une meilleure santé physique vous permet de faire face aux défis et aux efforts nécessaires pour atteindre vos objectifs.

Confiance en soi : Une bonne santé et un bien-être mental renforcent la confiance en soi, ce qui peut vous encourager à vous engager dans des activités et des initiatives. La confiance en soi est essentielle pour prendre des initiatives et assumer des responsabilités.

Capacité de concentration : Lorsque vous êtes en bonne santé mentale et physique, votre capacité à vous concentrer, à résoudre des problèmes et à prendre des décisions est améliorée. Cela favorise votre engagement dans des tâches et des projets, car vous pouvez vous investir pleinement.

Gestion du stress : La gestion du stress est un élément clé de la santé mentale et du bien-être. Lorsque vous êtes en mesure de gérer le stress de manière efficace, vous êtes moins susceptible d’être accablé par les obstacles, ce qui renforce votre engagement à surmonter les défis.

Relations sociales : La qualité de vie et le bien-être sont souvent liés à des relations sociales positives. Des liens solides avec d’autres personnes peuvent vous motiver à vous engager dans des activités communautaires, des œuvres de bienfaisance et d’autres initiatives sociales.

Satisfaction personnelle : Lorsque vous êtes en bonne santé et que votre qualité de vie est élevée, vous avez tendance à être plus satisfait de votre vie. Cette satisfaction personnelle peut vous encourager à vous engager dans des activités qui renforcent votre sentiment de but et de réalisation.

Responsabilité envers les autres : Une bonne santé et une qualité de vie élevée vous permettent souvent d’être plus attentif aux besoins des autres. Cela peut vous inciter à vous engager dans des actions altruistes et à contribuer positivement à la société.

Longévité de l’engagement : La santé et le bien-être sont essentiels pour maintenir un engagement sur le long terme. Si vous êtes en mauvaise santé ou que vous souffrez de problèmes de bien-être, il peut être difficile de maintenir votre engagement dans la durée.

En résumé, la santé, le bien-être et la qualité de vie favorisent la notion d’engagement en renforçant votre capacité à agir, à persévérer, à prendre des responsabilités et à contribuer positivement à votre propre vie et à la société en général. Ils créent un socle solide sur lequel repose votre engagement envers vous-même, les autres et les causes qui vous tiennent à cœur.

Les fondements scientifiques

Fondé sur la phénoménologie, le diagnostic RAICE se définit comme :

Une intervention non pharmacologique sur la santé humaine fondée sur la science.

Il se matérialise sous la forme d’un protocole.

Il se matérialise sous la forme d’une démarche de santé non invasive, non intrusive dont le contenu est connu du participant.

Il fait l’objet d’une démarche d’amélioration continue grâce à des validations externes et itératives par des spécialistes de la métrologie. Il est étudié sur les populations renseignées à partir des bases de données collectives par des méthodes exploratoires multidimensionnelles de type analyses factorielles.

Il a un impact observable sur des indicateurs de santé, de bien-être, de qualité de vie, conditions de travail.

Il se caractérise par une démarche intégrative au sens où il est : Participatif, Personnalisé, Préventif, Prédictif.

Sa mise en œuvre nécessite des compétences relationnelles et d’éthiques.

Il invite non seulement à être « participatif », mais également à devenir acteur de sa santé et autonome dans la gestion de celle-ci par le développement du pouvoir d’agir.

Il améliore l’état de présence et de conscience par le développement de l’attention à soi, aux autres et au monde. Il vise l’unification du sujet redonnant accès au plaisir de se sentir vivant.

Du CARE au RAICE

Introduire au CARE la dimension « I » pour Initiative.

Le « care », du mot anglais qui signifie « prendre soin ». Le concept et les théories du care sont apparus aux USA au début des années 1980, initiés par les travaux de la psychologue Carol Gilligan. Le CARE est basé sur une valeur éthique à dimensions morale et sociale.

L’originalité des créateurs et concepteurs de Nacéol est d’avoir introduit les concepts du pouvoir d’agir au sens d’être à l’origine de ses actions, du Sentiment d’efficacité Individuel ainsi que la capacité d’adaptation à maintenir ses équilibres vitaux et sociaux.

Leur caractéristique systémique, dynamique révèleront si la personne testée, en plus de l’identification de ses besoins, de sa motivation de se soucier de son Bien-Etre, a les capacités d’agir, à transformer son comportement, pour faire face efficacement aux exigences et aux défis de la vie quotidienne et à maintenir un état de bien-être psychique et à le démontrer par un comportement adapté et positif lors d’interactions avec les autres, sa culture et son environnement.

La phénoménologie

La phénoménologie (1) peut apporter une contribution importante à la compréhension de l’être humain en le situant à chaque étape de son développement chronologique et en lui offrant les connaissances fondamentales pour l’accompagner à comprendre les caractéristiques de chaque étape vécue.

En conséquence, cette bonne compréhension de lui-même l’accompagne à mieux se positionner dans son existence et lui permet de vivre plus pleinement. Elle est souvent présente dans l’état de préconscience avant que l’individu la conscientise véritablement dans son esprit.

Maurice Merleau-Ponty a admis la prépondérance de l’enveloppe corporelle et charnelle sur le rapport au monde.

Michel Henri, quant à lui, estime que l’individu est d’abord dans l’affect (2), une étape préalable au développement de son esprit conscient. Il met en évidence l’importance de la chair comme étant le réceptacle de l’émotion et impactant grandement la conduite de notre vie. C’est ainsi qu’il définit la corporéité de l’être humain (3).

Notre subjectivité, notre perception (4) se reflètent dans notre appropriation des expériences de vie. La praxie (5) est au cœur de la prise de conscience de notre existence (G Chedeau).

C’est pourquoi il est important d’appréhender la subjectivité de l’individu qui vient à vous dans le cadre d’un entretien en toute confiance dans le but d’établir un bilan pour le soutenir dans son besoin d’aide.

(1) La phénoménologie représente un courant philosophique qui met en place la description et l’ observation de la signification d’ une expérience humaine en se basant sur la conscience qu’ en a le sujet dans son esprit.

(2) L’affect définit un état d’esprit lié à la perception d’ une sensation, d’ une émotion, d’ un sentiment, d’ une humeur.

Chacune de ces perceptions positives ou négatives nous affecte grandement contenant un degré d’ intensité variable nous poussant à l’ action ou à la réaction (la conation).

(3) La corporéité, selon les phénoménologues, est la matérialisation de l’ humain par sa présence corporelle. Elle le définit dans le monde et aux yeux des autres comme un individu.

(4) La perception est l’activité par laquelle un individu fait l’expérience d’objets ou de propriétés présents dans son environnement. Cette activité repose habituellement sur des informations délivrées par ses sens. Chez l’espèce humaine, la perception est aussi liée aux mécanismes de cognition. La cognition est l’ensemble des processus mentaux qui se rapportent à la fonction de connaissance et mettent en jeu la mémoire, le langage, le raisonnement, l’apprentissage, l’intelligence, la résolution de problèmes, la prise de décision, l’attention.

(5) La praxie représente nos aptitudes pour faire des gestes. Ceux-ci sont faciles à exécuter ou ils sont effectués à l’aide d’objets avec une complexité plus ou moins grande. Ils sont liés à des actions conscientes ou inconscientes.

A un autre niveau conceptuel : L’identité, l’image de soi, au présent et l’image projetée dans le futur conditionnent cette perception du Bien-être. La résultante peut être déterminée par le degré de liberté et d’autonomie de l’individu confronté dans son ETRE à son environnement. C’est ce pouvoir d’agir et cette autonomie que Naceol cherche à faire ressortir et à conforter lors des entretiens avec les participants du bilan santé RAICE. Ce qui permet à la personne de s’exprimer pour ensemble révéler, conforter ces domaines d’amélioration de son Bien-être grâce à nos échanges, véritable alliance vers le chemin de l’amélioration individuelle.

Seule une analyse fine avec au besoin des outils statistiques multicritères adaptés permettra au final de révéler les points d’amélioration et de progrès dans un environnement. C’est le rôle du Comité scientifique de Naceol d’y parvenir avec vous.

Qualité de vie

L’Organisation Mondiale de la Santé définit la qualité de vie comme la perception qu’a un individu de sa place dans l’existence, dans le contexte de la culture et du système de valeurs dans lesquelles il vit, en relation avec ses objectifs, ses attentes, ses normes et ses inquiétudes ». Cette définition englobe à la fois : l’état somatique, l’autonomie physique, l’état psychologique, le fonctionnement psychologique, le bien-être, les interactions sociales, les activités professionnelles et les ressources économiques. De plus, l’Accord National Interprofessionnel (ANI) de 2013, définit la QVCT comme outil qui concilie amélioration des conditions de travail et performances de l’entreprise.

Cette définition fournie par l’OMS introduit les 3 préceptes de Naceol :

La santé globale et intégrative est le facteur clé de l’amélioration de la qualité de vie et des conditions de travail. Et, la qualité de vie est le vecteur de la performance individuelle, sociale, organisationnelle.

Favoriser l’efficience individuelle au service de l’intelligence collective afin de répondre, pour tous, aux enjeux durables et souhaitables d’aujourd’hui et de demain.

Faire de l’entreprise un lieu commun d’éducation et de formation à la santé.

Naceol s’intéresse à la compréhension de la nature subjective de l’individu qui participe volontairement à un bilan sur l’évaluation du bien-être « RAICE ». L’équipe de Naceol bénéficie d’une large expertise dans la psychologie, la nutrition et le sport ainsi que dans la santé mentale et physique. Grâce à leurs compétences, les collaborateurs de Naceol sont constamment dans l’interaction. Le diagnostic santé RAICE repose sur huit déterminants de la qualité de vie et des conditions de travail dans l’environnement professionnel. Son premier objectif consiste à :

• Pour l’individu : Se questionner sur sa particularité, sur le développement de son identité à travers ses interactions avec son environnement professionnel et personnel. Il peut ainsi se rendre compte de ses aptitudes et de son auto-efficacité.

Dans cette optique, l’équipe de Naceol a mis en place des concepts tels que l’intelligence adaptative et le pouvoir d’agir qui permettront de déterminer si une personne est en mesure d’agir, de réagir et de modifier son comportement. Elle pourra ainsi reconnaître la stratégie qui lui sera utile par rapport à toutes celles proposées par les experts de Naceol.

Au cours du bilan d’évaluation approfondi, Naceol indiquera à la personne ses forces personnelles et cela servira déjà de thérapie du bien-être en aidant cette personne à prendre la responsabilité des changements nécessaires pour maintenir ou améliorer sa santé ou situation.

• Pour un groupe : le bilan d’évaluation individuel fera partie d’un rapport collectif des résultats de chacun. L’élaboration de ce rapport ne sera possible que dans le respect strict des normes éthiques de consentement des personnes concernées, des principes d’anonymisation et de la protection des données personnelles.

C’est la conclusion d’une analyse statistique de modélisation qui donnera des pistes pour rechercher les corrélations entre les 8 déterminants du bilan santé RAICE. Les résultats auront aussi le rôle de rechercher les corrélations liées aux données socio-démographiques disponibles.

Le score global de l’indicateur QVCT reflète la perception, à un instant « T », le BIEN VIVRE, de la situation de la Qualité de Vie et des Conditions de Travail pour un groupe de personnes.

L’indicateur de confiance évalue et témoigne du caractère stable dans le temps du résultat de l’indicateur QVCT. Il est l’expression du BIEN VIEILLIR ensemble. Il priorise et protège la qualité des préconisations. Il révèle clairement une moyenne de l’aptitude d’un groupe de personnes à utiliser leur intelligence adaptative pour conscientiser ce qui est bienfaisant, et ainsi conduire à appliquer des comportements positifs dans les interactions quotidiennes, maintenir à long terme l’aptitude à l’autonomie pour garder l’équilibre vital.