CERVEAU ET SYSTEME DIGESTIF : Lien entre stress et maladies intestinales

CERVEAU ET SYSTEME DIGESTIF : Lien entre stress et maladies intestinales

Dans cette étude, les chercheurs de la Penn Medecine mettent en avant le lien entre les MICI (Maladie Inflammatoire Chronique de l’Intestin) et le stress psychologique.
Les résultats publiés dans la revue scientifique Cell détaillent une nouvelle approche de l’axe Intestin-Cerveau en montrant comment des cellules du SNC (Système Nerveux Central) transfèrent des réponses face au stress au système digestif de manière générale.
 
Pour information, les MICI font échos à 2 grandes affections, la RCH (Rectocolite Hémorragique) et la maladie de Crohn, qui sont caractérisées par une inflammation du système digestif entrainant d’autres symptômes de cette sphère plus ou moins permanents.
Actuellement les traitements consistent en un changement de régime alimentaire, des stéroïdes, des anti-inflammatoires et/ou des immunosuppresseurs.

Santé Publique – SUCRE : il faut réduire la consommation !

Santé Publique – SUCRE : il faut réduire la consommation !

L’OMS suggère de réduire la consommation de sucre à moins de 10% des apports énergétiques quotidiens : en respectant ces recommandations la consommation de sucre peut faire partie d’un régime varié et équilibré sans engendrer d’effets délétères sur l’organisme dans la durée.
La limitation des boissons sucrées à une seule consommation hebdomadaire est un bon moyen d’y parvenir car l’OMS estime que les boissons sucrées représentent jusqu’à 50 % des apports chez les consommateurs excessifs.

RÉSILIENCE MENTALE : Le niveau d’éducation joue un rôle déterminant

RÉSILIENCE MENTALE : Le niveau d’éducation joue un rôle déterminant

Un meilleur niveau d’éducation, associée à une exposition plus légère au stress, receuilli par auto évaluation lors d’un questionnaire, apparaissent comme les 2 facteurs clés de la résilience mentale. Également, une bonne santé et du soutien social contribuent à cette résilience, surtout à des âges plus avancés.
C’est dans le « Journals of Gerontology Series B » que l’équipe de l’Ohio State University présente une association supplémentaire : traverser un nombre élevé d’expériences difficiles dans la vie est associé à une résilience très élevée.

TÉLÉTRAVAIL : Rapport Bénéfice-Risque social et sanitaire

TÉLÉTRAVAIL : Rapport Bénéfice-Risque social et sanitaire

La période de pandémie du COVID19 a changé les habitudes pour des dizaines de millions de travailleurs à travers le monde, contraints alors soudainement de travailler à domicile.
Les modèles hybrides s’étants largement imposés, les premiers bilans révèlent que plus de 20 % de la population active qualifiée, notamment dans les pays riches, travaille à distance entre 3 et 5 jours par semaine aussi efficacement que sur site.
Évaluer le rapport bénéfice-risque de cette révolution à la fois économique et sociale devient important.
Si les avantages semblent l’emporter, que ce soit pour les salariés ou l’entreprise, notamment en matière de santé, il est intéressant d’identifier le modèle optimal.

USAGE EXCESSIF DES ECRANS : Les conséquences.

USAGE EXCESSIF DES ECRANS : Les conséquences.

Même si les écrans permettent de garder le lien à travers le monde via notamment l’emploie des réseaux sociaux, l’utilisation en excès peut générer un éloignement physique : les personnes hyperconnectés ont tendance à se replier sur eux-mêmes, à ne plus entretenir de relations avec leurs proches et ainsi se couper du réel pour se réfugier dans le monde virtuel.

Les écrans deviennent fondamentaux dans leur vie au détriment de tout le reste.
La désocialisation devient le premier risque lié à un usage excessif des écrans contribuant à augmenter les risques dépressifs et compromettant à tout épanouissement social, scolaire ou professionnel.